• votre commentaire

  • votre commentaire
  • "Comme d'habitude on marche de travers dans un monde qui tourne à l'envers .
    Comme d'habitude on perd notre temps à le flinguer , puis le raccomoder sous l'oeil angoissé du metronome .
    Comme d'habitude le ciel ecarte ses mysteres à nous petits hommes verts post-modernes .
    Comme d'habitude la couette gratte les insomnies , l'oreiller palpe les méninges .
    Comme d'habitude les gens aiment les autres , qui eux n'aiment pas grand monde .
    Comme d'habitude nos sourires ne sont que logique biologique .
    Comme d'habitude On suspend nos rires jusqu'au petit matins."


    votre commentaire
  • S'attarder sur les moindres petits détails, dans tous les recoins de nos vies débordantes. Se défouler pour oublier nos gueules d'amour, et puis repenser à tout, regarder les autres, ceux en mal d'amour, ceux en pleine décuvation, ceux qui n'ont rien. On  ce comparaît, se croise, s'efface ,se frole dans une tribune de foule à vous  en étouffer. Les nuits étoilées nos propres désirs et sentiments refoulés passent ,on croit ne plus reconnaître le même monde au petit matin, et puis finallement on recommence à suivre notre petit train de vie....le train arrive en gare, et quelques accidents sur les voies ferrées de prévues évidemment, et quelques rails nous détaillent et  foncent droit sur notre propre fuite. En route cap à l'ouest, les idées y sont moins moche,  juste omnibulées par lui,  elle,  et toi...


    votre commentaire
  • " Mon coeur est plein de vous ".
    Petit homme de l'ombre, planqué faussement acariâtre, aux delicats mots d'amour, ceux qui se perdent dans l'echo incertain d'une humanité sensiblement eccorchée.
    Amour violent de tendresse, amour fou d'idéaux emechés, à la clarté tremblante de ton petit néant vagabond.
    Errant, submergé par trop d'evidences à la convention recrachée et à la verité soudoyée.
    Souriant à vos gueules cassés de paumés allumés , trébuchants aux hasards de nos nuits sans sommeil.
    Insomnie de toute une vie, succombant aux vertiges frénétiques de l'ivresse.
    Fuite exacerbé du temps
    Dans une lucidité aliénante, vous aviez conscience de votre propre perte.
    Crevant de solitude aux bras ballants. Quelques voyages à raconter, quelques substances à preçiser. Un exutoir qui raccomode vos poches trouées, L'ecriture.
    Cette prose cadencée, à la tristesse chavirante, au malaise arrachant et au bonheur iminent.
    L'echine courbé, les veines de tes bras se gonflent à la frénésie déchirante de ta fuite. Le volant entre les mains t'es là... Toujours là. t'as jamais cessé de prétendre à la liberté, même si c'est elle qui t'a bouffé, t'en garde la sinçerité de l'idéal . T'es là, agonisant sur le capot frémissant, jouant à la petite mort improvisée. "

    "mathile"


    votre commentaire